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  • Jeu de données des cours d'eau de France métropolitaine BD Topage® version 2019 Il n'existe aucune définition normalisée de ce qu’est un cours d'eau. La codification des cours d'eau relève des gestionnaires du référentiel (Agences de l'eau, en concertation avec IGN-OFB-Etat). Les choix de codification sont essentiellement influencés par une approche topographique, basée sur la toponymie de terrain lorsqu'elle existe. Les critères de longueur de drain, de débits, de permanence d'écoulement peuvent être utilisés, en l’absence de sources claires et convergentes sur la toponymie. Un des rôles fondateurs du référentiel pour le système d’information sur l’eau est de proposer une identification des objets hydrographiques sous forme de codes stables, consensuels, utilisables pour produire et maintenir des référentiels dérivés, ou pour y raccrocher des données métier (Stations d’épuration, etc.) Le choix du cours d'eau n'est généralement pas influencé par un de ces usages particuliers, parfois contradictoires entre eux. Note : La gestion des cours d'eau transfrontaliers se fait comme suit : - Cas des cours d'eau situés sur la frontière (faisant frontière) : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier ; - Cas des cours d'eau franchissant la frontière une fois : un Nœud Hydrographique transfrontalier commun sera partagé entre les 2 pays (en attente des délimitations claires des frontières) ; - Cas des cours d'eau faisant des allers-retours entre les 2 pays : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier pour la partie comprise entre son premier et son dernier A/R sur la frontière (même pour la partie située dans le pays voisin). Correspond au concept "Watercourse" d'Inspire.

  • Jeu de données des nœuds hydrographiques de France métropolitaine BD Topage® version 2022 Un nœud hydrographique est une extrémité remarquable du tronçon hydrographique. Correspond au concept « HydroNode » d'Inspire.

  • Jeu de données des cours d'eau de Mayotte BD Topage® version 2021 Il n'existe aucune définition normalisée de ce qu’est un cours d'eau. La codification des cours d'eau relève des gestionnaires du référentiel (Agences de l'eau, en concertation avec IGN-OFB-Etat). Les choix de codification sont essentiellement influencés par une approche topographique, basée sur la toponymie de terrain lorsqu'elle existe. Les critères de longueur de drain, de débits, de permanence d'écoulement peuvent être utilisés, en l’absence de sources claires et convergentes sur la toponymie. Un des rôles fondateurs du référentiel pour le système d’information sur l’eau est de proposer une identification des objets hydrographiques sous forme de codes stables, consensuels, utilisables pour produire et maintenir des référentiels dérivés, ou pour y raccrocher des données métier (Stations d’épuration, etc.) Le choix du cours d'eau n'est généralement pas influencé par un de ces usages particuliers, parfois contradictoires entre eux. Note : La gestion des cours d'eau transfrontaliers se fait comme suit : - Cas des cours d'eau situés sur la frontière (faisant frontière) : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier ; - Cas des cours d'eau franchissant la frontière une fois : un Nœud Hydrographique transfrontalier commun sera partagé entre les 2 pays (en attente des délimitations claires des frontières) ; - Cas des cours d'eau faisant des allers-retours entre les 2 pays : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier pour la partie comprise entre son premier et son dernier A/R sur la frontière (même pour la partie située dans le pays voisin). Correspond au concept "Watercourse" d'Inspire.

  • Jeu de données des surfaces élémentaires de France métropolitaine BD Topage® version 2019 Une surface élémentaire est un polygone qui représente une étendue d'eau continentale de surface, d'origine naturelle ou anthropique, de profondeur variable.

  • Jeu de données des plans d'eau de France métropolitaine BD Topage® version 2019 Les plans d'eau désignent une ou plusieurs étendue(s) d'eau continentale de surface, d'origine naturelle ou anthropique, de profondeur variable. NOTE : La gestion des plans d'eau transfrontaliers se fait comme suit : - cas des plans d'eau situés sur la frontière (faisant frontière) : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier, - cas des plans d'eau franchissant la frontière une ou plusieurs fois : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier. Correspond au concept « StandingWater » d'Inspire.

  • Jeu de données des tronçons hydrographiques de France métropolitaine BD Topage® version 2023 Le tronçon hydrographique est le découpage le plus fin d'un réseau hydrographique. Il peut composer un cours d'eau ou traverser un plan d'eau. Correspond au concept « WatercourseLink » d'Inspire.

  • Le « carroyage DFCI » est un système de maillage géographique utilisé en France par les acteurs de la Défense des Forêts Contre les Incendies (DFCI). Le territoire métropolitain est couvert par des carrés de 100 km de côté, identifiables par deux lettres. Chaque carré de 100 km est divisé en 25 carrés de 20 km de côté, numérotés par des chiffres pairs de 0 à 8. Chaque carré de 20 km est divisé en 100 carrés de 2 km de côté, numérotés par un groupe composé d’une lettre et d’un chiffre. L’unité élémentaire est un carreau de 2 kilomètres de côté, défini par 6 caractères (exemple : KD42F7). Pour désigner un point à l'intérieur de l'unité élémentaire, la précision est obtenue en découpant ce carré en cinq zones numérotées de 1 à 5. Il a été créé sur une grille qui s’appuie sur la projection Lambert II étendue. Depuis 2009, il est re-projeté en Lambert 93 avec une légère déformation des angles et des surfaces. Carroyage DFCI (100 km) : Il couvre le territoire métropolitain avec des carrés de 100 km de côté dénommés par 2 lettres, une pour les abscisses et une pour les ordonnées. D’ouest en est, la numérotation commence à la lettre A (Bretagne) et se termine à N (Corse). Les lettres I et J ne sont pas utilisées. Du sud au nord, la numérotation commence à la lettre B (Corse) et se termine à la lettre N (Pas-de-Calais).

  • Le « carroyage DFCI » est un système de maillage géographique utilisé en France par les acteurs de la Défense des Forêts Contre les Incendies (DFCI). Le territoire métropolitain est couvert par des carrés de 100 km de côté, identifiables par deux lettres. Chaque carré de 100 km est divisé en 25 carrés de 20 km de côté, numérotés par des chiffres pairs de 0 à 8. Chaque carré de 20 km est divisé en 100 carrés de 2 km de côté, numérotés par un groupe composé d’une lettre et d’un chiffre. L’unité élémentaire est un carreau de 2 kilomètres de côté, défini par 6 caractères (exemple : KD42F7). Pour désigner un point à l'intérieur de l'unité élémentaire, la précision est obtenue en découpant ce carré en cinq zones numérotées de 1 à 5. Il a été créé sur une grille qui s’appuie sur la projection Lambert II étendue. Depuis 2009, il est re-projeté en Lambert 93 avec une légère déformation des angles et des surfaces. Carroyage DFCI (2 km) : Chaque carré de 20 km est divisé en 100 carrés de 2 km de côté, numérotés par un groupe composé d’une lettre et d’un chiffre. Les carrés de 2 km sont dénommés de A à L (sauf I et J) pour les abscisses, et numérotés de 0 à 9 pour les ordonnées.

  • Le « carroyage DFCI » est un système de maillage géographique utilisé en France par les acteurs de la Défense des Forêts Contre les Incendies (DFCI). Le territoire métropolitain est couvert par des carrés de 100 km de côté, identifiables par deux lettres. Chaque carré de 100 km est divisé en 25 carrés de 20 km de côté, numérotés par des chiffres pairs de 0 à 8. Chaque carré de 20 km est divisé en 100 carrés de 2 km de côté, numérotés par un groupe composé d’une lettre et d’un chiffre. L’unité élémentaire est un carreau de 2 kilomètres de côté, défini par 6 caractères (exemple : KD42F7). Pour désigner un point à l'intérieur de l'unité élémentaire, la précision est obtenue en découpant ce carré en cinq zones numérotées de 1 à 5. Il a été créé sur une grille qui s’appuie sur la projection Lambert II étendue. Depuis 2009, il est re-projeté en Lambert 93 avec une légère déformation des angles et des surfaces. Carroyage DFCI (20 km) : Chaque carré de 100 km est divisé en 25 carrés de 20 km de côté, numérotés par des chiffres pairs de 0 à 8 (variant de 2 en 2) en abscisse et en ordonnée. Ils sont croissants d’Ouest en Est, et du Sud au Nord.

  • Jeu de données des cours d'eau de France métropolitaine BD Topage® version 2023 Il n'existe aucune définition normalisée de ce qu’est un cours d'eau. La codification des cours d'eau relève des gestionnaires du référentiel (IGN-OFB-Etat en concertation avec les acteurs de l’eau, notamment les agences de l’eau). Les choix de codification sont essentiellement influencés par une approche topographique, basée sur la toponymie de terrain lorsqu'elle existe. Les critères de longueur de drain, de débits, de permanence d'écoulement peuvent être utilisés, en l’absence de sources claires et convergentes sur la toponymie. Un des rôles fondateurs du référentiel pour le système d’information sur l’eau est de proposer une identification des objets hydrographiques sous forme de codes stables, consensuels, utilisables pour produire et maintenir des référentiels dérivés, ou pour y raccrocher des données métier (Stations d’épuration, etc.) Le choix du cours d'eau n'est généralement pas influencé par un de ces usages particuliers, parfois contradictoires entre eux. Note : La gestion des cours d'eau transfrontaliers se fait comme suit : - Cas des cours d'eau situés sur la frontière (faisant frontière) : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier ; - Cas des cours d'eau franchissant la frontière une fois : un Nœud Hydrographique transfrontalier commun sera partagé entre les 2 pays (en attente des délimitations claires des frontières) ; - Cas des cours d'eau faisant des allers-retours entre les 2 pays : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier pour la partie comprise entre son premier et son dernier A/R sur la frontière (même pour la partie située dans le pays voisin). Correspond au concept "Watercourse" d'Inspire.