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Objets surfaciques des massifs forestiers délimités au titre de la prévention des incendies de forêt en Charente. Les massifs forestiers sont délimités lors de l'élaboration du plan de protection des forêts contre les incendies, à partir d'une étude de risque au niveau départemental ou régional et en conformité avec le code forestier. Couche des massifs à risque feux de forêt validés dans le nouvel arrêté préfectoral en date du 12/06/2023. Attention cette couche remplace la couche N_DFCI_L321_6_ZINF_S_016. Le code forestier a été révisé et les numéros des articles ont été renumérotés. Cette couche a été modifié avec l'ajout de 2 massifs par rapport à la précédente version.
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L'aléa global incendie de forêt est déterminé en combinant l'aléa subi (combustibilité de la végétation et condition de propagation du feu) avec les conditions d'éclosion : inflammabilité de la végétation, points d'éclosion privilégiés (voies carrossables, lignes SNCF et EDF, dépôts d'ordures).
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Pour les PPR naturels, le code de l'environnement définit deux catégories de zones (L562-1) : les zones exposées aux risques et les zones qui ne sont pas directement exposées aux risques mais sur lesquelles des mesures peuvent être prévues pour éviter d'aggraver le risque.En fonction du niveau d'aléa, chaque zone fait l'objet d'un règlement opposable. Les règlements distinguent généralement trois types de zones :1- les « zones d'interdiction de construire », dites « zones rouges », lorsque le niveau d'aléa est fort et que la règle générale est l'interdiction de construire ;2- les « zones soumises à prescriptions », dites « zones bleues », lorsque le niveau d'aléa est moyen et que les projets sont soumis à des prescriptions adaptées au type d'enjeu ;3- les zones non directement exposées aux risques mais où des constructions, des ouvrages, des aménagements ou des exploitations agricoles, forestières, artisanales, commerciales ou industrielles pourraient aggraver des risques ou en provoquer de nouveaux, soumises à interdictions ou prescriptions (cf. article L562-1 du Code de l'environnement) . Cette dernière catégorie ne s'applique qu'aux PPR naturels. Il s'agit ici d'un jeu de donnée relatif à la zone réglementée du PPRI de Bessines, Coulon, Magné. Vous pouvez depuis le lien suivant (https://www.deux-sevres.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Environnement-eau-risques-naturels-et-technologiques/Prevention-des-risques-naturels-majeurs-et-technologiques/Plans-de-prevention-des-risques-inondation-PPRi/Le-Plan-de-Prevention-des-Risques-inondation-PPRi-de-Bessines-Coulon-et-Magne/PPRi-approuve-par-arrete-prefectoral-du-13-novembre-2023) consulter toutes les informations realtives à ce document
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Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE. Les zones d'alerte sécheresse (ZAS) consultables sur cette page du SANDRE, correspondent aux périmètres des bassins versants naturels définis dans les arrêtés cadre sécheresse. Attention : ces ZAS ne traduisent pas toujours le périmètre d'application des restrictions que vous retrouvez dans les arrêtés de restrictions et dans les données issues de Vigieau (site public, API, etc.). Certains arrêtés de restrictions contiennent des règles de gestion particulières qui induisent des ajustements dans le périmètre d'application des restrictions. Par exemple, lorsqu'une commune est concernée par plusieurs zones d'alerte de même type et/ou de types différents (ESU/ESO/AEP), les restrictions peuvent s'appliquer à la zone d'alerte pour l'ESU, l'ESO et l'AEP (cas le plus courant) ou alors : Le niveau maximal s'applique à la commune pour l'AEP mais les niveaux ESU et ESO s'appliquent à la zone d'alerte Un niveau unique; le plus restrictif parmi ESU, ESO et AEP; s'applique à la commune pour toutes les ressources (1 niveau unique ESU-ESO-AEP) Un niveau unique, le plus restrictif parmi ESU et ESO, s'applique à la commune pour les milieux naturels (1 niveau unique ESU-ESO) et le niveau AEP est distinct Le niveau maximal s'applique à la commune pour chaque type de ressource (1 niveau ESU, 1 niveau AEP, 1 niveau ESO) Pour consulter les zones d'alerte sécheresse correspondant aux bassins versant naturels avant l'application de ces règles de gestion, le référentiel est celui du SANDRE. Pour consulter les zones d'alerte sécheresse après l'application de ces règles de gestion, vous trouverez des cartes de restrictions calculées jour par jour sur data.gouv.
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L'aléa global incendie de forêt est déterminé en combinant l'aléa subi (combustibilité de la végétation et condition de propagation du feu) avec les conditions d'éclosion : inflammabilité de la végétation, points d'éclosion privilégiés (voies carrossables, lignes SNCF et EDF, dépôts d'ordures). Prise en compte de l'évolution du climat pour un horizon à 20 ans
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Les massifs forestiers classés à risque feu de forêt (cf. définition annexe 2 de la circulaire DERF/SDF/C2002-3017 du 24 septembre 2002) sont délimités lors de l'élaboration du plan de protection des forêts contre les incendies, à partir d'une étude de risque au niveau départemental ou régional (cf. circulaire DGFAR/SDFB/C2004-5007 du 26 mars 2004). Au sein de ces périmètres, l'arrêté préfectoral du 29/05/2015 fixe les obligations légales de débroussaillement et de maintien en état débroussaillé.